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Tania Halliwell
[hj: comme ça... ]

Non je me promenais seulement... j'aime bien cet endroit...
lui sourit aussi, elle avait l'air gentille...
Laila Sun
hj: Mais pourquoi tt le monde croit que je veux en finir? C'est juste un délire spirituel!

Elle sentit une présence près d'elle e sursauta, comme à chauqe fois que quelqu'un s'approchait d'elle. A croire qu'elle avait vécu seule pendant trop longtemps. La présence humaine n'était plus très habituelle pour elle.
Elle parvint tout de même à lui lancer un sourire timide.


Bonjour. Je peux vous aider?
Tania Halliwell
[hj: j'ai reussit à tout lire je suis contente ^^]

Tania, elle, marchait sur la plage, chaussures à la main et les pieds dans l'eau, comme souvent en ce moment elle réfléchissait. Tout en étant dans ces pensées elle sentit que quelqu'un souffrait et était perdu... elle regarda autour d'elle ne voyant personne elle se concentra sur les sentiments de la personne, et sentit qu'elle voulait en finir... mais comment?... elle leva les yeux instinctivement vers le haut de la falais et là elle vit qu'il y avait quelqu'un... Est-ce que c'était elle qui souffrait à ne meme pas savoir comment s'en sortir... Soupira et se hata jusqu'au sommet de la falaise. Elle se retrouva pres de la jeune femme qu'elle avait vu d'en bas, s'approcha lentement...
Laila Sun
Elle était debout et regardait les vagues s'écraser contre la falaise, se sentant étrangement.... Bizarre. Elle était perdu dans son monde bien sur et son esprit divaguait, délirait complètement. Elle ne pouvait s'empêcher de penser que si l'on sautai de cette falaise, on mourrait, c'était une vérité irréfutable... Mais avant de mourrir, ne ressentait on pas un sentiment dintense liberté. e sentiment de voler, de laisser derrière nous toutes nos idées noires avant de mourrir. Elle aurait aimé demander à un suicidaire si c'était bien cela, si on avait effectivement l'impression que les mauvais sentiments restaient sur terre et se dispersaient au quatre vents au fur et à mesure de la chute. Pour un peu, elle aurait vérifié elle même...
Mais est ce que toutes les formes de suicides s'effectuaient ainsi. Elle fit une rapide analyse de toutes celles qu'elle connaissait. La pendaison... Non ce moyen était horrible... Ce sentiment d'etouffement qui nous envahissait alors n'était que la matérialisation du piège des sentiments qui s'était refermé sur nous pour qu'on en arrive là.
La lame de rasoir alors... Oui ce moyen là était sans doute encore plus libérateur, car on sentait notre tristesse et notre douleur nous quitter au fur et à mesure que la vie s'en allait. Mais tout ceci était vrai si l'on supposait que le fait que la vie nous quitte ne soit pas douloureux. Que notre esprit divague avec notre corps et perde suffisemment ces moyens pour nous permettre de ne plus penser à rien. Car dans le cas ou notre esprit était encore clair, on sentait la vie nous quitter sans pouvoir rien faire... On sentait que notre corps ne nous répondait plus et on ne pouvait plus faire marche arrière.
Mais dans le cas de la falaise aussi... Et dans le cas de la falaise, on était bel et bien consient. Alors qu'aprèps une mure réflexion, il déduisit que c'était impossible d'avoir toute ses facultés alors qu'on se vidait de son sang.
Le plus simple était une balle en pleine tête. Mais c'était le moins grisant. Et l'idée d'appuyer sur la détente était une épreuve insurmontable. Alors que pour se tailler le poignet, il suffisait d'avoir bu un coup de trop. Et pour sauter, il suffisait de se dire qu'on plongeait dans une piscine...
Quoi qu'il en fut, tout dépendait de notre état d'esprit. De notre degré de souffrances. Un homme qui souffre au point d'avoir l'immpression que rien ne pourra jamais s'arranger ne peut souffrir à la perspective de la mort. Mais l'instinc de survie humain était tel qu'au seuil de la mort, les gens ne réagissaient pas du tout comme à l'ordinaire. Et l'idée d'être sur le point de mourrir, de réaliser qu'on voulait vivre, et de ne plus pouvoir faire marche arrière était bien pire que toutes les souffrances du monde. Car enfin, si la vie est atroce, l'Homme ne peut s'empêcher de la vivre. Parce que c'est la seule chose qu'il sait faire corretctement. Vivre
Le plus dur dans ce monde, c'est de vivre, de survivre. Alors pourquoi les Hommes sont ils tellement attachés à cette vie d'errance, de souffrance, ou ils existent sans aucun but, avec comme seule finalité la perspective de finir dans une boite, oubiés de tous et détestés de certains? Quel ets le sens de la vie?


Message édité le 18-12-2006 à 18:35:17 par Laila Sun
 
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